RAID DU SOLEIL 2012

FINISHERS !!!

 

Le Week End du 17-18-19 mai avait lieu la 10è édition du Raid du Soleil.

Nous étions 5 AAOC a être inscrits : Marc VIVES-QUEROL, Bruno LAMBERT, Eric BOURDEAU , Claude LEMAITRE et Franck LAVIRON

Et nous étions accompagnés par l’ami Christophe PARCIGNEAU du VCBS et le GrosNico l’ami Suisse redoutable finisher en 2010 !

L’épreuve part de GAP pour arriver à DIEULEFIT en 3 étapes pour un total de 210K en + 7000m D+ :

Vendredi 18 mai : GAP > LUS LA CROIX HAUTE / 70K – 3000 D+

Samedi 19 mai : LUS LA CROIX HAUTE > SAILLANS / 90K – 2700 D+

Dimanche 20 mai : SAILLANS > DIEULEFIT / 58K – 1900 D+

 

Le voyage est déjà une péripétie en soi : Eric, Christophe et Bruno partent en voiture 2 jours plus tôt avec les vélos, déposent le véhicule à l’arrivée à Dieulefit puis regagnent GAP en bus sur une petite route comme on en trouve en Drôme.
Marco et moi venons en train. Le TGV a du retard ce qui réduit notre temps de correspondance à VALENCE a peu de chagrin. Il nous faut courir pour attraper le TER. TER surchargé car il n’y avait pas la capacités d’accueillir ni autant de passagers ni autant de vélos. A chaque gare c’est 20 minutes de palabres entre les agents de la SNCF qui ne veulent pas laisser monter les Vttistes et les Vttistes qui légitimement ont un billet et ne comprennent pas pourquoi ils doivent attendre un train ou un car de substitution.
Bon, on arrive à GAP plus tard que prévu et nous rejoignons les copains qui se sont déjà chargés de tout. Il ne reste plus qu’à rejoindre Claude et Marie-Antoinette au camping car pour le 1er apéro du Raid. |-D

C’est l’heure du briefing, on a tous en mémoire celui de 2010 qui nous annonçait le pire… L’organisateur nous explique le programme des réjouissances avec une météo incertaine et passe le micro au traceur de l’étape 1.
C’est clair ce sera un parcours exclusif : technique, physique et avec beaucoup de portage 😡  Mouais…. J’avais gardé un souvenir assez contrasté de l’édition 2010 et cette annonce ne m’a pas réconcilié avec le Raid…. Je n’avais déjà pas beaucoup d’illusions, les dernières se sont envolées avec ces paroles.

L’accueil pour le repas du soir est convivial ce qui efface la longue attente pour arriver jusqu’à la distribution. La nuit est agitée avec la pluie qui bat et mon Marco qui a le nez bouché.

Etape 1 : GAP > LUS LA CROIX HAUTE

Réveil sous l’eau ce n’est pas de bon augure. Rassemblement en centre ville de GAP, quelques gouttes, ciel menaçant mais Christophe voit des semblants d’éclaircies : soyons positifs !  B-)


On attaque par une montée sur la route… Hé Hé… Pourvu que ça dure 😉 Et enfin… LA TERRE  😀

 

 

 

 

 

 

Puis 1er portage d’une grosse 1/2 heure. L’ambiance est bonne, je porte avec Eric et Bruno.

 

 

 

 

 

 

Sur le plateau il vente à tout va. Nous attendons Claude et nous repartons sur un chemin en ornière et en dévers qui passe à pieds pour la majeure partie d’entre nous. Enfin nous remontons sur les vélos…

 

 

 

 

 

Pour attaquer la superbe descente du facteur. Un single terrible avec les premiers passages en balcon. Ouahhhhh  |-D Et qui mène tout droit sur THE PASSAGE !
Il faut franchir la rivière sans mettre les pieds dans l’eau… Il y a, au choix, un pont suspendu ou un tronc. Eric, Marco, Claude et moi choisissons le pont : un souvenir impérissable nous attend. C’est beaucoup, beaucoup, plus instable que prévu.
Le câble qui sert de rampe remue à tout va, le pont tangue au possible et les planches ne sont pas spécialement bien fixées. Crispation assurée.
Le vélo doit être porté en dehors du pont. Au bout il y a un arbre, je n’arrive pas à passer de front avec le vélo. Je sens que je chavire dangereusement. J’arrive tant bien que mal à tenir le vélo et pour éviter de passer par dessus bord, je plie les genoux. Encore 1000 mercis à l’assistant qui est venu me porter secours.
Bruno s’en sort magistralement en passant sur le tronc. Je n’ai pas de souvenir du passage de Nico et Christophe.

 

 

 
Au 2è ravitaillement il doit être à peu près midi cela fait 4 heures que nous sommes partis, il pleut à verse, il fait froid et nous avons 35K au compteur !!! Tout ce que j’aime dans le vélo.

On s’alimente bien, le banquet est fourni et on se change. Avec des vêtements secs ça va déjà mieux. Nous rejoignons le 3è ravitaillement placé avant le long portage. Un portage de dingue : plus d’une heure de grimpette, vélo sur le dos (sauf Bruno, le roi de la poussette), dans le brouillard. On passe à 1900 m d’altitude !!!
Et qui revient à la force des mollets ? GrosNico particulièrement à l’aise dans cet exercice. Il est IMPRESSIONNANT !  |-D
Et tout ça pour se prendre une descente… A pieds !!!! 😡 😡 😡 😡 😡  Tellement c’est technique. Par acquis de conscience, je demande à Christophe qui me répond : non trop dangereux !!! Voilà, voilà… Du top VTT quoi  😡 😡 😡 😡

Passage descendant sur le vélo avant de rejoindre LUS par la route. Je redoute une arrivée façon 2010 avec le contour de la ville par des chemins impossibles et sans intérêt. Mais non, mais non, on passe le camping signe de l’arrivée, je m’amuse à disputer tout seul la pancarte quand soudain… Ah non messieurs faut passer à gauche là en nous montrant un champ plein de rubalise qui grimpe vers un bois au fond !!!!
Horreur !!!! Malheur !!!! Je cri mon insurrection… Avant de me rendre compte qu’en fait, il n’y a pas plus de 200m et que nous sommes devant l’église et l’arche d’arrivée. OUFFFFF !!!

Lavage des vélos impératif, Claude a la technique avec le cyclocross. Il donne une leçon collective. |-D  Marco fait changer les plaquettes par le mécano itinérant particulièrement efficace. Merci à lui.

Je suis content de retrouver LUS, c’est un beau petit village, nous sommes dans de bien meilleures conditions qu’il y a 2 ans (tempête de neige). Marco sympathise définitivement avec l’équipe de ravitaillement.

Concernant cette étape, j’en retiens que le traceur a décidé de nous en faire baver. Sur 70K je dirais qu’il y avait 15-20K de bien et le reste à oublier. Je suis complètement résigné. A cela s’ajoute une météo capricieuse, ce qui était déjà le cas en 2010. Mais pourquoi ce titre de « Chemin du soleil » ?
J’avais pris une résolution à la fin du Raid 2010 (ne plus y retourner) et je me demande bien pourquoi je n’ai pas tenu ma résolution =|

Au briefing, l’organisateur est conscient, il nous explique aussi qu’il n’y a pas 36 possibilités de passages et que cet itinéraire s’imposait. Il nous promet également une très belle étape pour le lendemain. Jusque là, il n’a jamais menti alors on lui fait confiance  😎

Heureusement, il y a l’apéro au camping car. On ne remerciera jamais assez nos hôtes Marie-Antoinette et Claude.

 

Etape 2 : LUS LA CROIX HAUTE > SAILLANS

Nuit pluvieuse, au matin Marco est déconfit en regardant le ciel. Je lui refais le coup de Christophe à GAP : Regarde les éclaircies ! Et ce matin elles sont nombreuses  B-)

Moi je suis soumis à tout aujourd’hui. Chez les pompiers on dirait « rompu à l’exercice » certainement…

Il fait grand soleil, juste le temps de passer en tout court et de faire le pipi de la peur.
Nous n’attendons pas pour partir, il y a pas mal de gars en retard d’ailleurs qui doivent attendre que nous passions pour passer la boucle de contrôle.

 

 

 

Une belle montée sur la route et à l’ombre pour se mettre en jambes. Nous saluons un pratiquant multi-discipline, comme nous, qui a fait à la fois Paris-Nice et le Raid du Soleil…

 

 

 

 

 

 

…Avant d’atteindre un chemin et les premiers ennuis. Je veux changer de braquet et je déraille. Ah bon ?! Jusque là tout allait bien  😡

Le phénomène se produit à plusieurs reprises. Un portage d’1/4 d’heure, passage de raviers et hop sur le vélo pour une descente super sympa.

En bas, je retrouve Eric et Christophe affairé sur un vélo. Un belge vient de casser sa chaîne, il faut un maillon rapide. Tel un bon St Michel (ce sont des St Bernard des bois…) je sors le nécessaire. Le gars prend mon nom et ma plaque et repars joyeusement.

 

C’est vrai que le parcours est sympa aujourd’hui, le soleil aidant on prend du plaisir à rouler… Qui plus est… Sur le vélo  B-). 1er ravitaillement, je trempe la banane dans le nutella pendant qu’Eric se lance dans le remplacement de ses plaquettes. Sans succès, il n’a pas l’outil adéquat et le mécano n’est pas présent.

 

 

 

 

 

Il fait de plus en plus chaud, c’est agréable. Arrive un single technique à profil montant. Je suis toujours en proie a des passages de vitesses difficiles. Je butte beaucoup. Je m’arrête pour laisser passer le flot de VTT derrière moi.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Un gars pas très inspiré butte à ma hauteur… Il s’écroule sur moi, me voilà assis dans un buisson épineux. Aïe !!!! Juste le temps de dire SAPEUR… Et me voilà avec un trou dans le cuissard pile à l’endroit que rigoureusement ma mère me défend de nommer ici. Un filet de sang s’écoule de ma blessure….
Moi qui passe mes journées à jouer avec les centres de coût, me voilà victime d’un coup au centre  =|

Soumis à tout donc… Même à ça…. Je suis en échappement libre maintenant… Sans témoin, difficile de faire admettre que ce n’est pas l’OURS…

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Pour l’instant il faut rester concentré sur le pilotage car on attaque la partie la plus ardue du Raid avec une descente sur un single en balcon entre la paroi rocheuse et le vide  😛 :-O .
J’ai la chance d’avoir un terrain dégagé jusqu’à rejoindre Gwendal Peizerat, Champion du Monde (2001) et Champion Olympique (2002) de patinage artistique en difficulté dans ce passage.
C’est du délire et c’est avec soulagement quand même que je retrouve la partie arborée de la descente. A la sortie j’attends Eric et nous nous dirigeons vers le ravitaillement ù nous attendent les copains. Eric fait changer ses plaquettes, je règle les butées de mes dérailleurs avant et arrière (pur sabotage c’est évident…  😉 )
Pas de trace de Claude, en repartant on ne peut s’empêcher d’être un peu inquiet.

Le soleil est au zénith, sale temps pour le gros surtout que ça monte. La pente est forte mais le chemin rend bien. Je suis avec Eric, on laisse les motos filer. Puis la pente se radoucit ce qui me convient beaucoup mieux, je reprends de la vitesse maintenant.
Je commence à doubler du monde et j’entends des ricanements lors des dépassements à la vision de la partie la plus charnue de mon corps. Mais j’ai le moral au beau fixe, pas un nuage noir, je prends un réel plaisir sur ce magnifique parcours qui rassemble tout ce qui se fait de mieux pour moi à VTT. Avec des montées possibles sur le vélo et une alternance de descentes rapides et techniques et du single à gogo. Petite pensée pour El’ Marco qui a su me convaincre de revenir  B-)

Soudain je suis obligé de sortir de mes pensées : c’est la panique j’aspire au tuyau du camel ❓ Plus d’eau…. Ouahhhhh….  8-| 8-|  C’est que ce col n’a pas l’air d’avoir de sommet. Chaque virage donne sur un nouveau bout droit  8-| 8-| Je baisse la cadence, il fait chaud maintenant il faut rouler à l’économie.

Au ravitaillement je retrouve nos élites qui ne se lassent pas de l’accroc dans le cuissard. Les plaisanteries vont bon train. Même l’équipe de ravitaillement me demande de faire la pause de dos pour compléter leur album souvenirs. Sur ces moqueries de bon aloi, les motos repartent, je décide d’attendre Eric pour finir avec lui.
Le temps pour lui de refroidir un feu au pied, de se décontracter le dos et on attaque un superbe single descendant. Puis le chemin s’élargit nous contournons des vignes. Je suis surpris qu’Eric ne soit pas revenu sur moi. J’attends sur le pont un petit moment.

Il arrive ensanglanté au visage. Un moment de déconcentration et il s’est bûché face contre terre. La griffe de l’ours sur la joue il se soigne à la fontaine un peu plus loin avant d’attaquer la dernière montée du jour.
Une montée façon rampe de lancement. Tout à gauche. Beaucoup de monde à pieds. Je poursuis sur le vélo. Dernière descente avant de rejoindre SAILLANS pour l’étape.

A peine arrivé au camping que le gars dépanné dans la matinée me retrouve pour me rendre un jeu de 2 attaches rapides. Il me remercie une nouvelle fois, il insiste pour que je garde la boite et se sauve. Je suis agréablement surpris. Mais au fait, pourquoi être surpris alors que je n’ai eu que des satisfactions avec nos voisins Belges.

 

 

 

A SAILLANS il fait beau, la journée a été magnifique. On refait le film de la journée devant un apéro géant au pied du camping car. Décidément on est bien reçu chez les LEMAITRE  |-D

Marco poursuit son numéro de séduction auprès des assistantes au ravitaillement. Double Paella pour l’Espagnol ! |-D

Avant de rentrer se coucher, on encourage avec admiration les équipes d’Elite qui s’élance pour l’étape de nuit.
On visionne les films de GrosNico de la journée, c’est spectaculaire. La descente avec Bruno – la guêpe – devant et le gros frelon derrière est digne des projections du train de la mine dans les cinémas 3D.
Je suis pressé de les mettre en ligne et de les revoir.

 

 

 

Etape 3 : SAILLANS > DIEULEFIT

Je me méfie de cette étape vue comme une formalité par beaucoup. Eric ne peut pas repartir. Il a une escalope douloureuse sur la cuisse.

Le départ est annoncé physique par l’organisateur. On part par la route sur un faux plat montant. J’aime bien quand l’organisateur me fait plaisir. Je peux prendre un peu d’avance. Puis arrive la portion de terre et là c’est dur effectivement. Tout à gauche comme la veille au soir. Et c’est long, très long. Les motos me doublent rapidement.

J’y vais à mon train, la route est longue encore. Sur la crête c’est super sympa, on retrouve un grand chemin en montagne russe. Je peux m’exprimer ça passe à l’influx. Sauf qu’au bout d’un moment je sens mes jambes se durcir… Oh… Oh… et plus de jus. Bon, il faut se résoudre à l’évidence, j’attaque le fond de cuve sur cette 3è journée.
Il est temps de passer en mode éco dès que ça monte. Ce qui est rassurant c’est que nous en sommes tous là maintenant.
Je regarde avec une pointe d’ironie les gars qui tentent et coincent à mi-pente  😉

Au 1er ravitaillement les motos sont déjà repartis… Ils ont décidé d’allumer aujourd’hui. GrosNico et Claude arrivent juste derrière. Je repars un poil devant et nous nous retrouvons un peu avant le 2è ravitaillement. On décide alors de rouler ensemble. Et c’est une bonne chose.

Le terrain ressemble plus à ce que nous avons l’habitude de faire en rando dans le coin. Evidemment puissance 10 pour tout : montée, descente, single, …

A chaque ravito je fais le plein d’eau, l’expérience de la veille m’invite à la prudence. Les organismes commencent à s’éroder, mais il règne un parfum de satisfaction de finir et de plaisir. C’est génial comme sensation.

Le parcours est plutôt roulant, le compteur kilométrique s’incrémente même si les pentes se négocient sur des braquets de plus en plus petits.

Mention spéciale pour les sandwichs au pâté du dernier ravitaillement. Miam !  😉

Après une série de côtes en tout genre en single avec de la racine, sur une autoroute à cailloux ou sur la route, nous voilà enfin à la bascule de la dernière difficulté de l’épreuve. Il est temps pour Nico de sortir la caméra. Il a décidé de me filmer dans un exercice périlleux : la descente.

Il commente ma descente par des phrases encourageantes du style : « ça ne va pas très vite mais ça fera un bon film à regarder » ou encore « tu pourras analyser tes trajectoires et progresser par la suite… ». Elle m’amuse cette descente après une première partie trialisante, on arrive sur un sentier en balcon.
Les gars devant moi buttent régulièrement sur les obstacles, c’est très haché. Puis un bout de route que je dévale avant de s’engager dans la dernière portion. Un tas de caillasses, ça tabasse à mort. Il faut viser juste pour éviter les projectiles levés par les concurrents devant.
Virage à droite et hop nous sommes en ville, on traverse une rue piétonne, puis c’est l’arche d’arrivée. Les bénévoles reprennent la puce électronique. C’est fini !!!

Quelle satisfaction ! On se congratule avec Nico puis avec Claude avant de rejoindre les costauds déjà propres.

 

 

 

 

 

 

 

Etape 4 : LE RETOUR

A 15h, après un copieux repas, nous quittons la Drôme, Marie-Antoinette et Claude sous une pluie battante. On a échappé au pire  8-|

La N7 est saturée avant même de rejoindre l’A7. Autoroute FM annonce 4h pour rallier Lyon depuis Valence. Ni une, ni deux, on décide de rentrer par la N7. Bercé, je m’assoupi quand j’ouvre les yeux, nous avons quitté la N7 direction PRIVAS  ❗ ❗ 8-| 8-| 8-| Ouhhhhh-LLllaaahhhhh  ❗ ❗ 8-| 8-| 8-|

En fait le GPS était configuré pour éviter les grands axes  😎 Il a donc décidé de nous promener un peu. Recalcule d’itinéraire, je propose de rejoindre l’A75 puis de rentrer par Clermont-Ferrand, le trafic devrait être plus fluide.

Il nous faut traverser l’Ardèche et la Lozère. 2 superbes départements…

Routes aussi belles que longues. Passé l’épisode du col dans le brouillard, nous découvrons des paysages magnifiques qui sont une invitation au voyage et aux vacances. On en prend plein les yeux. Fantastiques.

Retour à 4h du matin dans l’Essonne. La moyenne n’a pas été élevée mais cela entre dans le souvenir de ce GRAND Week End.
Merci encore les copains pour ces bons moments et un gros bisous à Marie-Antoinette. 😉

 

 

 

 

 

Les vidéos :

Descente étape 2 filmée par Christophe

Descente étape 2 filmée par Christophe avec chute à 3mn22

*— D’autres vidéos…

La descente du facteur filmée par dadi62590

Etape 3 – arrivée au 1er ravito – Julien

Chemins du Soleil 2012 – film de pascalleplae

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